Forge Strauss

Dans le laboratoire Lucia avait préparée ces affaires toute la journée ,faisant attention a doser correctement ces solution "miracles" qui lui permettrait peut être de retourner la situation en cas de probleme , elle avait aussi fait quelques explosifs , fatiguée elle s'arrêta .

Alors que la nuit commençait a tomber Nikola dit a la jeune fille de s'arrêter ,il fallait qu'elle se repose .Lucia acquiesçât et sortit .
Plus tard tandis que Nikola rangeait et vérifiait les différentes solutions une personne vêtue de noir se faufila dans la forge , Nikola par reflex attrapa le fusil poser sur un établie et visa l'intrus .

-Qui est la !
La scène ressemblait exactement a sa rencontre avec Lucia
La personne s'arrêta le regarda et dit "Vous êtes Nikola Strauss ? Je suis un ami de Lucia je doit lui parler "
Nikola reposa l'arme
-Oui c'est bien moi ,que voulez vous ?
"J'apporte une nouvelle a propos du concours a la guilde des voleur ,le défi a changer ,il faut pour sortir victorieux tuer Kallen Tatlina cependant la plupart des membres lui vouent un culte inégalé ,certaines personnes pensait déjà a cette vampires pour la succession avant même la mort ."
-Hum , je voit ,tu peut y aller je lui raconterait tout a on réveil .

L'homme sortit discrètement du bâtiment ,laissant Nikola songeur.

"Extrait d'un journal"

Belle batisse, si je m'en sort plutôt bien avec ce gars la, je pourrais peut-être lui demander quelques services, mais mieux vaut rester prudent, si ça se trouve en moins de deux, je prend un bain bouillant pas très agréable ...

*Toc toc*

Personne ne semblait accourir pour ouvrir la porte à Alner, quoi qu'il en soit, celui-ci, commença à l'ouvrir légèrement, puis ne voyant personne, il entra complètement à l'intérieur de l'édifice. Par soucis de discrétion, il remonta le col de son manteau, et réajusta son chapeau afin que son visage ne soit guère reconnaissable. Ne voyant toujours personne venir, il se dit qu'il vallait peut-être mieux attendre. Puis finalement :

-Y a quelqu'un ici ?!

Un homme a forte carrure arriva il était vêtu d'un simple tablier et tenait a la main une poignée rougie par le feu ,il s'approcha de l'homme.

-Oui, que puis-je pour vous ?

A la vue de la masse humaine vivante, Alner equarquilla ses yeux et ravala sa salive, il resta calme, et vérifia qu'il s'agissait bien de la personne indiqué sur la missive.

-Je cherche monsieur Strauss s'il vous plait, c'est pour parlé affaire.

Il y avait autant de mensonge que de vérité dans son affirmation, mais Teeldorg espérait bien ne pas eveillé de soupçons à son sujet.

L'homme parut amusé du regard qu'avait eu l'étranger a sa vue , avoir travailler toute sa vie dans la forge lui avait donné une taille imposante .

-Je suis Friedrich Strauss actuel dirigeant de la forge ,cependant mon fils habite aussi ici ,il s'appelle Nikola,et je pense que c'est plutôt lui que vous cherchez ,cependant je ne veut pas paraitre indiscret mais de quel genre d'affaires voulez vous parlez ?

Première hypothèse à se stade de la mission, le père n'est au courant de rien concernant son fils, si il n'y a pas de problèmes avec ce dernier, Teeldorg pourrait lui demander ses services. Deuxième hypothèses, le père et le fils sont de mèches mais rien ne permet de dire si c'est la première ou la seconde qui est la bonne. Sans être tiraillé entre ces deux questionnements, Alner fit du rangement dans son cerveau et mis en place une diversion.

-Ah, oui vous avez bien le portrait qu'on m'a dit de vous. J'aurais souhaité avoir des renseignements concernant vos fabrications, vous faites des armes à feu ?

-Je suis plutôt spécialisé dans les armes blanches cependant je peut créer une arme a feu ,mon fils travaillant plutôt l'alchimie il excelle dans ce genre de gadget ,personnellement je préfère une bonne vielle épée ,mais enfin bon ceci n'est que mon avis.
cependant si vous souhaitez plusieurs exemplaires je ne pourrait accéder a votre requête et vous devriez voir autre part .
Cependant qui vous a parlez de moi pour parler "affaires" ? Je ne suis plus ce que j'était mais je n'accepterait pas de vendre ma forge ...

-Il n'a jamais était question d'acheté votre forge. Je suis ingénieur-balisticien, je travaille sur des nouveaux prototypes d'armes à feu, j'aurais souhaité obtenir vos services pour la réalisation des modèles d'essaies, il est bien évident que vous serez payer comme il se doit ...

Une pensée vint intérrompre Alner dans son discours. "Alchimiste" ?

- Vous savez, je compte montez mon entreprise d'armements. Il faut dire qu'il y avait, qu'il y a, et qu'il y aura toujours de la demande dans ce domaine. Vanès Industries au Belondor, Smith Armements au Zollernberg pour l'exemple. Bien sur, je ne vise pas la multinationale, je reste modeste, mais l'interêt que peut suscité de nouvelles armes peut s'avérer particulièrement bénéfique. Surtout quand les plus grands achètent des armes comme un boulanger vend ses petits pains.
En bref, je souhaite faire affaire avec vous, j'aurais souhaité rencontré votre fils, il se peut que vous m'ayez donné quelques idées.

Alors, que décidez vous ? Je peut toujours vous donnez le temps de la réfléxion si vous souhaitez réfléchir à tête reposé.

L'homme parut réfléchir quelque instant .
-J'en parlerait a mon fils au plus tôt ,cependant il est quelque peu occupé dernièrement je ne pourrait donc pas vous garantir son entière dévotion dans votre projet ,je pense aussi que c'est a lui et non a moi que vous devriez parler ,une adresse ou vous joindre ?

-Je mange midi et soir à l'auberge des trois veilleurs mais je suis hébergé à l'hôtel des avarois, l'un a une meilleur cuisine, tandis que l'autre a des draps frais. Mais je préfère que veniez à ma table le soir, plutôt que le midi curieusement c'est moins bien fréquenté le soir, pour un tête à tête c'est amplement suffisent.

Dites à votre fils de venir quand bon lui semble, je reste ici quelques temps donc que vous veniez me voir dans un jour, une semaine ou un mois ne me pose aucun problème.

11h du soir, pas un chat, deux trois miliciens qui trainent dans le quartier mais partent rapidement vers d'autres endroits.

Alner, Stefan et Julian, se planquaient dans l'ombre.

-C'est bon, personne. Prévins Alner, les trois comparses sortirent de l'ombre, Alner avait le col de sa veste remonté jusqu'au nez, et le tricorne bien enfoncé sur la tête, la grosse barbe drue de Stefan rendait difficile toute identification, quant à Julian, un chapeau rapiécé et une grosse écharpe lui suffisait amplement.

-Bon si je comprend bien, le but c'est de tout faire péter ? Demanda Stefan.

-Bien sur, les forges en général ont beaucoup d'ouverture pour faire passer l'air, et ça demande beaucoup de lumières, donc il y a fort à parier, que des lucarnes sont sur les toits.

-Et comment on y accède ? Rajouta Julian.

-Suffit de trouvé une échelle.

-Si on en trouve.

Le trio arriva finalement devant la forge, séparé de toute autre bâtiments, mesures de sécurité au cas ou un incendie se déclarerait. En faisant le tour du bâtiment, Stefan remarqua un immeuble plus près que les autres, assez proche pour l'atteindre avec un peu d'élan.

-Merde la milice ! S'écria Julian, la voix étouffé par l'écharpe, Stefan et Alner eurent le temps de se planqué dans une ruelle assombrit, tandis que Julian alla s'enfouir in extrémis dans un tas d'ordures. La patrouille de cinq hommes passa sans remarqué quoi que ce soit. A vrai dire, les types était plus occupés à papoté de choses et d'autres qu'à patrouiller. Les gardes disparurent aussi vite qu'ils étaient arrivés. Julian sorti du tas d'ordures, Alner et Stefan de la ruelle.

-Bon au mois tu n'a pas était dépaysé au niveau de l'odeur. Dit Stefan en se pinçant, le nez. Il faut dire que Julian dans le feu de l'action n'a pas vraiment eu le temps de faire un choix.

Remit de leurs émotions, les trois agents continuèrent leurs recherches, espérant trouvé un itinéraire pouvant mener sur les toits.

-Bingo ! Dit Stefan. Un escaliers, qui mène au toit de la forge.

-Mais fermé.

-Et grillagé, et si on tient compte de la petite pancarte à la porte principale …

-Ouais, on est pas prêt d'y arrivé.

-Il reste une solution …

Ils prirent donc la décision, il faudra sauté pour atteindre le toit. Le groupe se dirigea vers l'immeuble plus près que les autres. Julian qui à l'expérience d'une enfance un peu turbulente crocheta sans problème la serrure. Dans le vestibule, pas un chat, les gens qui habitent ici doivent dormir. Le silence était de rigueur, Alner, Stefan, et Julian montèrent les escaliers à pas feutrés, puis deux étages plus haut atteignirent la porte des combles. La encore, un coup de crochetage eut raison de la serrure.

-Encore des bourgeois qui tiennent à leurs argents. Se dit Julian. Il est vrai que la baraque était plutôt cossue et les serrures fragiles.

Le trio vagabonda dans les combles, évitant soigneusement les chambres de bonnes, afin de trouvé l'accès au toit. Ils finirent par trouvé la porte et sortir sur les toits. Ils s'avancèrent jusqu'à la forge, une toute petite ruelle se contentait de séparer les deux édifices.

-J'ai vu juste, un peu d'élan et le compte est bon. Stefan tient moi la bombe.

Alner avait pris la grosse boule noir à mèche dans un sac, il passa le sac à Stefan.

-Inutile de prendre trop de risques, envoie moi le sac quand je serais de l'autre coté. Julian t'a les allumettes ?

l'intéressée passa les allumettes en question. Puis, ceci fait, Alner pris un peu de recul puis sauta. L'instant ou il fut dans le vide, Alner senti son cœur battre la chamade. Il ne voulait vraiment pas mourir aussi sottement. Mais il réussi à atteindre l'autre coté, et à se retrouvé sur le toit de la forge.

-Stefan, la bombe.

Avec ses gros bras, Stefan envoya le sac contenant l'arme, mais pas assez fort pour atteindre les bras d'Alner qui due se penché de très près dans le vide pour rattrapé la bombe in extrémis avant qu'elle ne se fracasse en bas. Alner souffla puis s'avança vers la première lucarne qui lui apparaissait. Ce qui ne fut pas une grosse peine puisque que l'une d'elle se tenait devant Alner. Tout content, Alner s'avança devant, pendant que Stefan et Julian observait au alentours afin de vérifié que personne de malveillant était entrain de les épiés. Alner s'agenouilla devant la lucarne et malgré la lune un peu faible en luminosité essaya de voir à travers. Il arrivait à distingués les fourneaux, quelques outils et une enclume. Alner sembla même distinguait quelque chose qui n'avait rien à voir avec l'art de la forge. Sans doute un des pièges disposait, mais le manque de luminosité ne lui permit pas de confirmé cela.

Il faudrait une certaine force pour brisé cette vitre, et aucun dispositif ne permet d'ouvrir de l'extérieure. Alner due se résoudre à sortir un petit canif et à tenté d'entaillé la vitre, afin de la fragilisé un peu plus. C'était un verre assez épais, mais pas pour autant incassable une grosse pression pourrait faire brisé la vitre. Alner se releva.

-Stefan ! Tu te sent de sauté ?

-Eumm, je vais voir.

-Je te rattrape.

Alner alla vers le rebord, et Stefan recula, Julian s'écarta. Puis Stefan commença à courir, puis arrivé juste au rebord il sauta en poussant une râle d'effort pour atteindre le rebord sans avoir à s'aider d'Alner qui voyant le saut à préférer s'écarter avant de recevoir Stefan en pleine poire.

-Je fais quoi ?

-J'ai besoin d'un lourd, tu fait bien tes cents livres. Ce qu'il faudrait c'est brisé la vitre, je te rassure c'est pas pour que tu entre, mais pose toi juste sur la vitre et force-y dessus.

-T'es sur ? On à pas pris de corde.

-Tu le sentiras quand le verre se fragilisera. Je te rattrape au cas ou.

-Ouais, ben t'es quand même bien léger à coté de moi.

-C'est les risques.

Stefan se résigna. Il s'avança tout doucement (et la peur au ventre) sur la vitre. La lucarne ne semblait pas fléchir, Alner restait au aguets.

-Ca marche pas on dirait.

-Force un peu ! Sautille.

Stefan s'exécuta, là, il sentait vraiment la vitre se plier, mais ça n'était pas assez, au bout de quelques sauts de puces au mêmes endroit, un craquement se fit bien entendre. Stefan sur le coup sauta pour de vrai hors de la vitre, Alner se délecta de voir de belles fissures partant d'un seul point.

-Stefan, je t'adore.

-Y a pas de mal.

Alner, avec le pied tenta de faire s'effondrer la lucarne fissuré. Ce qui fut le cas au bout de plusieurs coups de pieds, les bris de vitres allèrent se fracassé en bas, mais on entendit rien d'autres que le bruit des vitres brisés.

-Alors !? Cria Julian.

-C'est ça, gueule plus fort ! Rétorqua Stefan.

-Ca n'a pas déclenchait de pièges.

-Peut-être qu'ils ont étaient placés que sur les entrés.

-Peut-être, Stefan, retourne de l'autre coté, le spectacle va bientôt commencer.

Stefan ressauta, toujours sans encombre. Alner regarda par le trou béant de la lucarne. Il sorti du sac la bombe et les allumettes de sa poche. Ce serait une question de timing très serré. Allumé la bombe, la laisser tombé au bon moment pour qu'elle explose alors qu'elle est en l'air, et dans le même temps s'enfuir à toute vitesse et atteindre l'autre immeuble. Il y avait de réels risques que le toit sous l'effet de l'explosion soit soufflé. Alner souffla un grand coup, la mèche de la bombe doit duré trois secondes, et il lui en faut autant pour courir sauté et se plaqué sur le sol, l'explosion devant se produit une dizaine de mètres en bas, les risques de blessures sont moindres mais partir trop tard et c'était l'aller-simple pour un autre endroit.
Alner prit une allumette, la gratta sur le sol, puis se tenant au pied de l'ouverture, tenant la bombe à bout de bras (qui commence à être lourde), porta la flamme à la mèche, l'alluma, bascula sa main pour faire tombé la bombe et pris ses jambes à son coup, sauta le plus loins possible, et envoya à Stefan et Julian :

A TERRE !

Code:

Narrateur c'est à vous.

explosion
Narrateur a effectué 1 lancé(s) d'un 1D8 - 1 dé à 8 faces :

6

risque Narrateur a effectué 1 lancé(s) d'un 1D10 - dé à 10 faces :

5

Code:

Alner, ça s'écrit Alner !

Alner, Stefan et Julian, ventre à terre et mains sur la tête entendirent un vacarme assourdissant. La bombe venait d'exploser et la détonation laisse pensé qu'autre chose venait d'exploser avec. Alner se releva tout doucement, et vis, alors que le vacarme des débris retombants au sol se faisait encore entendre que la forge venait d'être amputé de la manière la moins agréable de son étage, seul les murs à l'extérieur avait résisté, mais il n'y avait plus de toit. Julian et Stefan se relevèrent à leurs tours et bouche bée et yeux écarquillés, avait du mal à réaliser …

Alner : Oh putain !
Julian : Nom de Dieux !
Stefan : Mazette !

-Mon estime envers l'enturbanné vient de faire un sacré bond en avant. Rajouta Julian.

-Un type pareil pourrait bien faire péter toute la ville. Remis Stefan.

-Tu parles de qui ? Moi ou Kismet.

-Oh à vous deux vous en seriez capable je pense. Répondis Stefan avec un flegme tout particulier.

-Je propose qu'ont se cassent avant que la milice arrive. Dit Julian en jetant un coup d'oeil dans la rue, des gens commençait à sortir.

Alner Opina et c'est avec leurs jambes au cou que les trois démolisseur en herbes fillèrent à vive allure du toit. Dans les escalier de l'immeuble ou ils se trouvaient, Alner flanqua une droite à un habitant en chemise de nuit réveillé par l'explosion. Dehors, il y avait déjà du monde, des habitants réveillés par l'explosion ainsi que des passants curieux. Pas un signe de la milice.

-Surtout ayez l'air naturel. Donna comme consigne Alner à ses coéquipiers. Ainsi le trio se mélangea au milieu des badauds pendant que les premiers miliciens arrivèrent. A leurs vue, bien que rien ne les accuse à première vue, les trois hommes ne s'empêchèrent pas d'êtres inquiets, ils prirent une ruelle à peine éclairé, et voyant que personnes ne semblait les avoirs remarqué ils purent soufflés.

-Bon et maintenant qu'est-ce qu'on fait ? Demanda Julian.

-On rentre et au lit, demain faut voir si ça a marché et que au moins un des trois se pointe ici constaté les dégâts. Répondis Alner.

-Ils pourraient bien flairer le coup monté. Rajouta Stefan.

-Faut voir, rien n'est sûr. Filons avant que les miliciens commence à fouiller le quartier.

Les trois hommes disparurent dans le noir.