a la fn d'un cour
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a la fn d'un cour
Artemis était devant la porte de l'amphithéâtre, a répondre aux questions de certains élèves sur les les sectes catharodoxes primitives que l'on trouvais au IIIième siècle au Lieger. Il se retourna en entendant un confrère crier:
-c'est un scandale! croyez moi, j'en parlerais au Doyen!
C'est alors qu'il vit 5 hommes de la milices (un sergent et 4 miliciens) arriver, fusils pointés sur lui.
-Monsieur havennoc, par ordres du regent, vous êtes en état d'arrestation ! Vous serez jugé par la cour martialede Treffelburg.
-c'est un scandale! croyez moi, j'en parlerais au Doyen!
C'est alors qu'il vit 5 hommes de la milices (un sergent et 4 miliciens) arriver, fusils pointés sur lui.
-Monsieur havennoc, par ordres du regent, vous êtes en état d'arrestation ! Vous serez jugé par la cour martialede Treffelburg.
Narrateur- Admin
- Messages : 971
Date d'inscription : 13/12/2009
Localisation : Les cieux
Re: a la fn d'un cour
Artemis en resta bouche-bée. Qu'avaient-ils encore à lui reprocher, cette fois ? Cela avait-il un rapport avec l'interdiction du Renouveau ? Il n'y tenait pourtant qu'une rubrique "Contes et légendes", qui n'était absolument pas orientée politiquement.
- Je vous suis.
Et ils sortirent du bâtiment.
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Quand Ana arriva au Collège, tous les soldats et son fils étaient déjà partis. Elle regarda autour d'elle : les collèges d'Artemis faisaient une tête d'enterrement. Elle s'assit sur un banc dans un coin de la salle et mis son visage dans ses mains. Il ne restait qu'elle encore libre de la famille, pourtant irréprochable et longtemps considérée comme un exemple de famille instruite et respectable. Ce régime était décidément despotique. Le régent ne cherchait même pas à s'allier à ses opposants politiques en temps de crise, à aller chercher les bonnes idées des intellectuels comme son fils. Tant pis pour lui. De toutes façons un jour où l'autre le peuple s'en plaindra, manifestera, voire même plus, et ce jour-là il sera bien ennuyé...
- Je vous suis.
Et ils sortirent du bâtiment.
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Quand Ana arriva au Collège, tous les soldats et son fils étaient déjà partis. Elle regarda autour d'elle : les collèges d'Artemis faisaient une tête d'enterrement. Elle s'assit sur un banc dans un coin de la salle et mis son visage dans ses mains. Il ne restait qu'elle encore libre de la famille, pourtant irréprochable et longtemps considérée comme un exemple de famille instruite et respectable. Ce régime était décidément despotique. Le régent ne cherchait même pas à s'allier à ses opposants politiques en temps de crise, à aller chercher les bonnes idées des intellectuels comme son fils. Tant pis pour lui. De toutes façons un jour où l'autre le peuple s'en plaindra, manifestera, voire même plus, et ce jour-là il sera bien ennuyé...
Artemis Havennoc- Messages : 162
Date d'inscription : 31/01/2010
Localisation : 221b Rue du Boulanger, Quartier étudiant, Kapen-Lagen
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