Un nouvel Ordre naîtra

Le Primarque Magnus Traversa le long couloir qui menait à la grande salle du conseil. Celle-ci était tapissée de grands étendards, représentant l'Aquila, un aigle bicéphale dont la têtes gauche avait les yeux bandés, ou le soleil autour duquel gravitait huit planètes avec le cosmos en arrière plan, ou encore de grands textes sacrés datant de bien avant l'Empire. Ce jours là, Magnus avait revêtue comme il ce doit l'habit du Primarque de l'Ordre de l'Aquila. Il portait la longue cape bleu sur laquelle était cousue un grand Aquila, le plastron avait remplacé récemment l'ancienne armure, celui-ci était fait d'un acier de bonne qualité, dessus était sculpté un petit aquila avec le numéro huit sur le corps. Le tout sur un habit blanc riche. Son épée, la chose la plus importante après l'Ordre, avait presque quatre-cents ans mais toujours aussi affuté et mortel. Celle-ci était richement ornée, une tête d'aigle formait le bout de chaque ôté de la garde. Les épées des Primarques se laiguaient de Primarque à succésseur. Cela faisait sept ans qu'il était Primarque, le deuxième à être recruté depuis la reconstruction.

Tout en avançant dans le couloir principal, il croisa deux Astartes qui montaient la garde devant la porte du Trésor. Ces hommes étaient les chevaliers de l'Ordre, des hommes à qui on offrait une deuxième vie, une vie de servitude et de silence en échange de la connaissance des grands savoirs. En effet, ces chevaliers étaient très pieux et avaient fait voeux de silence pendant leur serment. C'était des soldats implacable, des guerriers surentraîné qui défendraient l'Ordre jusqu'à la mort. Ils portaient une armure presque complète très résistante. Leur uniforme était bleu comme celui du Primarque avec l'Aquila déssiné sur la cuirasse. Ces guerriers maniaient avec une perfection remarquable l'épée lourde, la claymore qu'ils attachaient dans le dos. Ils portaient une épée courte et aussi depuis peut deux pistolets à poudre à la ceinture, fabriqués par l'Ordre et d'une extrème précision jusqu'à trente mètres. Ces hommes passaient leur temps à s'entraîner ce qui les rendaient puissant extrèmement éfficaces lors des missions. L'Ordre en comptait une cinquantaine, mais en recrutait de plus en plus, ce qui était peut comparé aux trois cents lors de son appogé. Mais la dernière purge inquisitoriale les avaient tous tués, l'armée impériale et un régiment de milicien avaient été réquisitionnés pour en finir avec l'ordre. Les chevaliers l'Ordre, dans un baroute d'honneur, trois cents s'étaient sacrifiés en chargeant l'armée impérial de front pour laissé le temps aux Primarques de fuir avec le Trésors et les grands secrets. Seul le grand maître de l'Ordre et un Primarque survécurent totalement à la grande purge, sauvant l'éssentiel. L'âme de l'Ordre de l'Aquila.
L'inquisition gardait secret tout ces évènement car, premièrement, les pertes impériales avait été térrible lors de la bataille, et deuxièmement, l'Ordre de l'Aquila n'était pas un ennemie, il était au contraire un des gardiens de la religion et de l'Empire, mais elle eu peur de ne plus avoir de contôle sur lui et ordonna son extinction.
Les deux Astartes baissèrent la tête devant le Primarque en signe de respect puis se refigèrent comme des statues.

Magnus passa juste à côté de la bibliothèque sacret, celle qui contenait les faibles traces des savoirs anciens. Trois Astartes étaient assis et consultaient quelques ouvrages. Il passa ensuite près de la chapelle où une quinzaine d'Astartes priaient à genoux l'épée devant eux. Même si leur serment faisait qu'aucun sons ne sortaient de la chapelle, le Primarque sentit leur foi et leur prières au fond de lui.
Du bruit ce fit entendre quelque mètre plus loin mais cela venait du couloirs qui menait aux quartiers des chevaliers de l'Ordre, du bruit en émanait toujours, du à l'entraînement répeté qu'il s'affligeaient eux même, les meilleurs étant ceux choisis pour partir en mission.

Il arriva enfin devant La Porte, celle que seul les Primarques étaient autorisés à franchir. Deux Astartes montaient la garde, ils firent un pat de côté comme un seul homme et ouvrirent les deux portes. Les gonds grincèrent et la lumière jaillit de la salle. Magnus s'arrêta sur le seuil, ce mit à genoux et pria quelque seconde puis ce releva.
La salle était octogonal, des vielles tapisserie ornaient les mûrs et de vieux grimoires se trouvaient en dessous dans des coffres de verre transparent. le plafond était une coupole avec un trou en son centre, duquel s'échappait une faible fumée, cette fumée venait de la table elle aussi octogonale au milieu de la pièce. Un feu y était allumé dans un vase circulaire. Il y avait huit chaises autour de la table qui se trouvait sur une estrade de pierres, se trouvait six hommes habillés comme Magnus, leur yeux cachés sous la capuche de leur cape.

-"Magnus mon frère, tu es le bienvenue, heureux que tu es pu faire vite." dit l'homme en face de lui, dont la voix trahissait son âge véritable.

Celui-ci gravit les deux marches et se plaça lui aussi autour de la table à sa place bien précise.

-"Nous sommes au complet, la séance peut commencer." reprit l'homme d'une voix rauque.

Les sept hommes tirèrent leur épées en même temps, la placèrent devant eux et récitèrent une prière.

Nous sommes les gardiens du grand secret des anciens
Nous sommes les serviteur de notre unique seigneur
Nous parcourons le chemin perdu de nos ancêtres
Rassembler toute leur connaissances oublié
Réapprendre de leurs écrits leur savoir bafoués
Retrouver leurs bons, leur grands secrets cachés
Et de pouvoir ainsi trouver la Porte vers l'illumination

Ils levèrent la tête vers le plafond

Au delà du septième jour viendra le huitième jour qui marquera la vie des justes et la condamnation des impurs.
L'infinie qui nous entour est autant de connaissances et de sagesses qui nous restes à découvrir.
Nous sommes huit mais nous ne faisons qu'un, animé par la flamme de la vérité comme les huit astres qui gravitent autour de l'étoile définissant l'équilibre cosmique.

Sur ces derniers mots ils posèrent tout les sept leurs épées sur la table, la pointe tournée vers le feu au milieu. Le fait qu'ils ne soit pas complet ne changeait pas le rituel, l'épée du défunt était posées sur la table en attendant que vienne son futur porteur.

-" C'est une séance peut ordinaire frère, ... ce sera même, ... ma dernière en tant que grand maître. Après cette séance, je me retirerais pour ma... méditation et le début de mon voyage. Je vais laisser la parole ... à notre frère Magnus." dit le viellard

Tout les Primarque baissèrent la tête et ne dirent rien pendant quelques seconde, sachant ce que la perte du grand maître signifiait. Une séance excéptionnelle serait bientôt organisée.
Le Primarque Magnus prit la parole avec une lettre dans sa main.

-" Ceci est une nouvelle plus que importante mes frère, il requière toute notre intention et notre réaction la plus rapide. Ce message est arrivé il y a deux heures."

Tout les regard se tournèrent vers lui, plein d'attention.

-" C'est une situation de crise dans tout l'empire ! L'empereur, si nous pouvons encore lui permettre de lui donner ce nom là, est partie ! Personne ne sait où il est, mort, suicidé, enlevé, lâchement partie, personne ne sait, ce qui est sûre c'est que c'est le conseil d'état qui gère l'empire. Et celui-ci va s'empresser de résoudre le soulèvement Toldène, et il va devoir gérer les "manquements" d'Heinrich, l'empire étant aujourd'hui plus appauvrit qu'à son arrivé."

-" Que devon-nous faire selons vous ?" demande un Primarque

-" Nous devons mettre notre nouveau service de renseignement en action. Celui-ci doit savoir le plus vite possible où se trouve Heinrich. Nous devons le capturer et si ce n'est pas possible le tuer. Il pourrais avoir trouvé refuge dans un autre royaume et demander de l'aide pour faire assoire sont pouvoir plus férocement sur ce pays. Nous ne pouvons pas nous le permettre. Je mennerais personnellement cette enquête en accord avec le projet "Aigle noir". Il est opérationnel depuis hier."

-" Et qu'en est-il du soulèvement Toldène ? En quoi sommes nous impliqué au juste ? Il ont eu ce qu'ils voulaient non ?" demanda Guilliman

-" Nous sommes indirectement les alliés des Toldènes, grâce au...Serpent."

Vlad secoua la tête en souriant:

-" Oui, même si ils me doivent plus, et donc nous doivent plus, que nous leur devons, nous devons les aider, pas ouvertement bien sûre, mais ce mouvement doit durer aussi longtemps que nécessaire."

-" Effectivement, les yeux de l'empire sont tournés vers la Toldanie, nous devons profiter de cette occasion pour effectuer nos plans de grande envergure. Nous avons pour la première fois la force et les mains libres pour le faire." dit Konrad

-" Je partirais à Kapen Lagen dans cinq jours." dit Magnus, sous entendant après l'élection du nouveau grand maître.